Le nouveau film de Jane Campion après 12 ans hors des longs-métrages, offre une maitrise narrative et plastique indéniable mais risque de laisser à distance côté émotion, malgré un casting implacable.

Le nouveau film de Jane Campion après 12 ans hors des longs-métrages, offre une maitrise narrative et plastique indéniable mais risque de laisser à distance côté émotion, malgré un casting implacable.
Expédiant un peu la fin du groupe, Todd Haynes épouse avec son documentaire The Velvet Underground l'ambiance fièvreuse de ses artistes et leur époque.
Splendeur technique et émotionnelle, aboutissement en apothéose du travail plastique du réalisateur depuis La ligne rouge, The Tree of Life constitue probablement le film le plus maîtrisé de Terrence Malick, bouleversante ode au pardon.
Après Antiviral, Brandon Cronenberg confirme ses capacités avec Possessor, un 2e thriller techno-horrifique rondement mené.
Pour toutes les différences d'avec le montage de 2017, cette nouvelle mouture de Justice League conserve la majorité des tares et de la médiocrité d'alors. Même joueur, joue encore.