
Pays | France |
Editeur | Gaumont |
Date de sortie | 22 septembre 2021 |
Support | 1 BD-50 |
Réalisateur | René Clément |
Durée | 113 min 39 |
Zone | ABC |
Format d’image | 2.35 |
Langues | Multilingue & Français DTS HD MA 2.0 |
Audiodescription | Français |
Sous-titres | Français, Français pour sourds et malentendants et Anglais |
Image
Le jour et l’heure est édité en Blu-ray par Gaumont dans leur collection Classiques à partir d’une restauration 4K effectuée par Eclair en 2020.
Le résultat est plutôt probant… quand la luminosité est suffisante. La restauration souffre en effet des mêmes limites que celles vues sur La guerre est finie, mais à une intensité ici supérieure. On trouve en effet une texture argentique typique sur les éléments les plus lumineux (captures 11, 13 et 15 par exemple), avec un rendu tout à fait satisfaisant dans ces moments, notamment grâce à la préservation de l’aspect argentique du film et un bon niveau de détails. Cependant, le traitement très plat des éléments plus sombres dans le cadre couplé à un décollement encore plus poussé des noirs donne une image régulièrement avec des éléments lisses et sans texture (captures 3, 4, 8 et 10), avec en plus les soucis de postérisation et d’encodage en partie créés par cette élévation importante des niveaux de noirs. Ce dernier point génère en plus régulièrement un aspect terne et voilé à cause de noirs trop laiteux (captures 8, 10 et 12), au point qu’on se demande s’il n’y a pas un souci d’encodage des valeurs RGB. Les dix premières minutes du film sont particulièrement concernées (captures 1 à 5), au point où on peut se demander si on n’est pas devant une copie d’exploitation mal étalonnée.
C’est dommage car le film possédant beaucoup de scènes peu éclairées, une partie non négligeable du film est affectée par cela, nivelant par le bas l’impression laissée par l’image. On le voit dès que le contenu du film permet à ces éléments sombres de se faire moins voir, mais le reste du temps, l’ensemble de ces soucis se cumulent et génèrent une expérience de visionnage finalement assez décevante.
Un bon point cependant, l’image est parfaitement propre et stable.
Son
La piste son est elle aussi peu impressionnante, principalement à cause d’un rendu assez renfrogné et étriqué. Si les dialogues restent plutôt intelligibles et clairs, et la piste globalement bien nettoyée et stabilisée, l’ensemble sonne assez plat et un peu étouffé. Cela rend l’écoute assez morne, même lors des nombreuses séquences de tension. Quelques effets sonores réussissent à percer mais dans l’ensemble, c’est tout de même peu mémorable.
Suppléments
- La dernière résistante (40 min 06, 1080p) : entretiens avec Denitza Bantcheva et Chantal Pelletier autour du film
- Module avant / après restauration (2 min 17, 1080p)
- Bande annonce originale du film (4 min 11, 1080p restaurée)
Matériel de test :
Image | Panasonic TX-PF50G20S |
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Source | Zone B : PS3 Slim 250 Go | Zone A : Panasonic BDT-110 |
Son | Yamaha RX-V467 |
Enceintes | Kit 5.0 : Jamo S606 | Caisson : Jamo Sub210 |
Scan disc :
Taille Disque | 45,107,282,047 bytes |
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Taille Film | 31,587,028,992 bytes |
Encodage Vidéo | MPEG-4 AVC Video / 29996 kbps / 1080p / 24 fps / 16:9 / High Profile 4.1 |
Encodage Audio – VO | Multiple languages / DTS-HD Master Audio / 2.0 / 48 kHz / 1562 kbps / 16-bit (DTS Core: 2.0 / 48 kHz / 1509 kbps / 16-bit) |
Encodage Audio – VF | French / DTS-HD Master Audio / 2.0 / 48 kHz / 1563 kbps / 16-bit (DTS Core: 2.0 / 48 kHz / 1509 kbps / 16-bit) |
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