
Pays | France |
Editeur | Badlands |
Date de sortie | 03 mars 2023 |
Support | 1 BD-25 |
Réalisateur | Yuzo Kawashima |
Durée | 98 min 56 |
Zone | ABC |
Format d’image | 2.35 |
Langues | Japonais DTS HD MA 1.0 |
Audiodescription | Non |
Sous-titres | Français imposés |
Image
Troisième et dernier test Blu-ray de la vague Yuzo Kawashima chez Badlands avec Les femmes naissent deux fois, un Blu-ray utilisant lui aussi comme source une restauration 4K financée par Kadokawa Corporation pour Daiei et réalisée en 2017 par Cineric Portugal. Nous n’avons pas non plus réussi à trouver précisément les éléments utilisés pour cette restauration, mais le rendu visuel laisse supposer l’utilisation du négatif original.
Au niveau définition et texture, le film se rapproche du Temple des oies sauvages, à savoir une image agréablement fine et précise, tant dans les plans serrés que les plans plus larges, tous offrant leur lot de détails en fonction (détails des visages ou des costumes d’un côté, des décors de l’autre) (captures 3 et 6 par exemple). Un visuel raffiné, dont la restauration s’est avérée soignée et ne montre pas de signes de filtrage numérique intrusif.
Côté étalonnage, le résultat ne dépareille pas tout à fait de ce qu’on a pu observer sur La bête élégante, avec ici aussi une image tout de même très sombre, même dans les plans en extérieur plein jour (captures 10 et 11), même si cela s’avère plus varié que sur La bête élégante, et notamment que ce point parait moins « flat » et terne (mais juste simplement très sombre). Les couleurs les plus appuyées ressortent ainsi mieux (captures 4 et 14), même s’il faudra par contre, cette fois, composer avec un rendu régulièrement assez verdâtre (captures 5 et 15). Cela s’avère par ailleurs assez irrégulier, certaines séquences étant nettement plus verdâtres que d’autres.
Enfin, pas de soucis de propreté ou de stabilité à mentionner, et un encodage de qualité, dans la lignée de ceux des deux autres films.
Son
La piste son se situe là encore dans la lignée de celles des deux autres films. C’est globalement assez frais et propre, avec des voix et une musique se projetant bien, mais l’ensemble reste tout de même notablement plat, et les voix peuvent se montrer légèrement voilées. Il n’y a cependant pas de souci plus notable que ça.
Suppléments
- Présentation du film par Stéphane du Mesnildot (24 min 20, 1080i)
- Yuzo Kawashima : Les débuts (22 min 32, 1080i) : première partie des entretiens avec Christophe Gans, Clément Rauger et Bastian Meiresonne sur les films de Yuzo Kawashima
- Bandes annonces des trois films de la vague Yuzo Kawashima chez Badlands (1080p upscalé) et de trois autres titres de l’éditeur (Hell’s Grounds, L’aiguille et La bouche de Jean-Pierre)
Matériel de test :
Image | Panasonic TX-PF50G20S |
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Source | Zone B : PS3 Slim 250 Go | Zone A : Panasonic BDT-110 |
Son | Yamaha RX-V467 |
Enceintes | Kit 5.0 : Jamo S606 | Caisson : Jamo Sub210 |
Scan disc :
Taille Disque | 24,690,922,640 bytes |
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Taille Film | 21,155,776,512 bytes |
Encodage Vidéo | MPEG-4 AVC Video / 25976 kbps / 1080p / 23.976 fps / 16:9 / High Profile 4.1 |
Encodage Audio – VO | Japanese / DTS-HD Master Audio / 1.0 / 48 kHz / 1078 kbps / 24-bit (DTS Core: 1.0 / 48 kHz / 768 kbps / 24-bit) |
Captures d’écran HD :
















