
Pays | Angleterre |
Editeur | Indicator |
Date de sortie | 27 février 2023 |
Support | 1 BD-50 |
Réalisateur | Anthony Harvey |
Durée | 91 min 16 / 86 min 05 |
Zone | B |
Format d’image | 1.85 |
Langues | Anglais DTS HD MA 1.0 |
Audiodescription | Non |
Sous-titres | Anglais pour sourds et malentendants |
Image
Deux montages du film sont proposés : le montage cinéma américain (91 min 16) et le montage cinéma britannique (86 min 05). Les deux montages sont proposés en seamless branching, les deux montages ne bifurquant qu’à la 79e minute pour embrayer soit sur 12 minutes pour le montage US, soit 7 minutes pour le montage UK. Pour ce qui semble être un ancien master HD, on est assez clairement dans le haut du panier car on croirait être face à une restauration 2K issue du négatif original 35mm. Une surprise fort bienvenue.
L’image se montre ainsi joliment détaillée et texturée, offrant régulièrement un très appréciable niveau de détails (captures 5 et 8 par exemple). Il y a une légère fluctuation de cet aspect au fil du film, notamment car certains passages sont plus diffus que d’autres (capture 6), mais cela reste dans l’ensemble de haut niveau. Par ailleurs, l’image parait vierge de bidouillages numériques, tant en dégrainage qu’en accentuation artificielle, ce qui appuie l’impression de fraicheur du rendu. Cela reste certes un peu doux parfois, mais c’est quoiqu’il en soit agréable en visionnage.
La palette de couleurs parait, elle, un peu plus traditionnellement « ancien master HD », quoique là aussi d’une manière suffisamment légère pour laisser planer un doute. Principalement, c’est surtout que les carnations paraissent parfois un peu appuyées et rosées (capture 12) et qu’on pourra trouver à la palette globale un côté un peu trop neutre. Par ailleurs, les hautes lumières, si elles restent souvent plutôt bien traitées, peuvent parfois être écrêtées (capture 3). Ces points mis à part, l’étalonnage se montre là aussi un peu plus fin et nuancé qu’attendu : pas de dérive magenta, un contraste plutôt parcimonieux et une saturation relativement sans excès ni manque. Plutôt agréable ici aussi, donc.
Enfin, l’image se montre propre et plutôt stable (hormis quelques plans légèrement tremblotants).
Son
La piste son 1.0 est plus traditionnelle dans son rendu, mais sans défaut notable non plus. Les voix se projettent plutôt bien, la musique est bien aérée et les effets sonores complètent de façon équilibrée le mixage général. Les principales limites acoustiques sont un rendu encore assez plat et comme un léger manque de rondeur donnant à la piste un aspect un peu voilé. Quoiqu’il en soit, cela fait bien le travail sans être pour autant particulièrement notable.
Suppléments
Tous les bonus sont en anglais non sous-titré.
- Commentaire audio d’Anthony Harvey et Robert A Harris (2000)
- Nouveau commentaire audio de Barry Forshaw et Kim Newman
- Madness… It’s Beautiful (1971, 8 min 01, 1080p upscalé) : documentaire promotionnel d’époque du film
- A Study in Sherlock (26 min 53, 1080p) : nouvelle interview de Kim Newman sur les nombreuses adaptations de Sherlock Holmes au cinéma
- Bande annonce originale (2 min 18, 1080p upscalé)
- Galerie photos
- Livret de 36 pages incluant un nouveau texte de 7 pages par Chloe Walker sur le film et sa réception, 9 pages retraçant la carrière d’Anthony Harvey et 5 pages de critiques d’époque du film
Matériel de test :
Image | Panasonic TX-PF50G20S |
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Source | Zone B : PS3 Slim 250 Go | Zone A : Panasonic BDT-110 |
Son | Yamaha RX-V467 |
Enceintes | Kit 5.0 : Jamo S606 | Caisson : Jamo Sub210 |
Scan disc :
Taille Disque | 35,323,378,012 bytes |
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Taille Film | 26,208,683,712 bytes |
Encodage Vidéo | MPEG-4 AVC Video / 34899 kbps / 1080p / 23.976 fps / 16:9 / High Profile 4.1 |
Encodage Audio – VO | English / DTS-HD Master Audio / 1.0 / 48 kHz / 1053 kbps / 24-bit (DTS Core: 1.0 / 48 kHz / 768 kbps / 24-bit) |
Captures d’écran HD :













