
Pays | France |
Editeur | Elephant Films |
Date de sortie | 31 janvier 2023 |
Support | 1 BD-50 |
Réalisateur | James Whale |
Durée | 69 min 36 |
Zone | B |
Format d’image | 1.35 |
Langues | Anglais DTS HD MA 2.0 |
Audiodescription | Non |
Sous-titres | Français optionnels (blancs ou jaunes au choix), Anglais |
Image
Court-circuit (alias By Candlelight) arrive chez nous en Blu-ray via Elephant. Une bonne nouvelle : l’éditeur utilise ici, selon toute vraisemblance, la restauration 4K effectuée récemment par Universal et parue aux USA chez Kino en octobre 2022. Le résultat visuel est peut-être encore légèrement perfectible par endroits (notamment au niveau de l’étalonnage) mais se montre très plaisant en visionnage et offre quoiqu’il en soit un très confortable upgrade pour un film de cet âge (nombre de films seraient ravis d’avoir droit à un tel traitement).
Les travaux semblent avoir été effectués sur une source assez proche du négatif original (mais pas forcément celui-ci) et se montrent soigneux de la texture argentique de l’image. On trouve ainsi un grain aux atours suffisamment naturels pour ne pas sembler trahir un abus de bidouillages numériques contre-productifs, et appuyant un très bon niveau de détails malgré une légère douceur visuelle. Tout cela profite à l’ensemble du film, en gros plans comme en plans larges, uniquement parfois légèrement en retrait pour quelques mises au point imparfaites (mais rares), et sinon uniquement doux du fait de l’usage évident de filtres de diffusion lors du tournage. Bref, les indicateurs sont au vert.
L’étalonnage est peut-être le point le plus discutable, avec tout de même une petite poignée de passages à la palette très grisâtre et paraissant manquer à la fois de luminosité et de contraste (capture 6). Heureusement, cela n’affecte qu’une infime partie du film, qui profite le reste du temps d’une palette de gris plus ample (et convaincante), sans pour autant venir malmener les hautes et basses lumières.
Enfin, l’image se montre très efficacement stabilisée et nettoyée, tandis que l’encodage restitue tout cela sans paraitre se trouer (ce qui aurait été ballot avec un BD-50 pour un film d’1h09 seulement).
Son
La VO 2.0 (dual mono) évite les gros défauts (souffle, distorsion, son étouffé), malgré son rendu restant encore assez limité et plat. Pour autant, les voix se montrent claires et se projettent plutôt bien, tandis que la musique apporte une légère dynamique sans pour autant rendre la piste brouillonne dans son ensemble. Pour un film de 1933, c’est donc plutôt confortable.
Suppléments
- Analyse de six séquences du film par Fabien Mauro (36 min 14, 1080i)
- Introduction du film par Jean-Pierre Dionnet (12 min 01, 1080i)
- Portrait de James Whale par Jean-Pierre Dionnet (16 min 22, 1080i)
Par ailleurs, le disque s’ouvre sur une courte présentation de la vague de 3 films de James Whale chez Elephant (1 min 43, 1080i), et l’édition inclut un livret de 16 pages, contenant un texte de 9 pages par Denis Rossano sur le réalisateur et couvrant globalement la période correspondant à Court-circuit et Le baiser devant le miroir. La 1ere partie du texte est incluse dans Le baiser devant le miroir, et la 3ème et dernière dans L’enfer vert.
Matériel de test :
Image | Panasonic TX-PF50G20S |
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Source | Zone B : PS3 Slim 250 Go | Zone A : Panasonic BDT-110 |
Son | Yamaha RX-V467 |
Enceintes | Kit 5.0 : Jamo S606 | Caisson : Jamo Sub210 |
Scan disc :
Taille Disque | 33,828,492,431 bytes |
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Taille Film | 17,433,532,416 bytes |
Encodage Vidéo | MPEG-4 AVC Video / 30040 kbps / 1080p / 23.976 fps / 16:9 / Main Profile 4.1 |
Encodage Audio – VO | English / DTS-HD Master Audio / 2.0 / 48 kHz / 1562 kbps / 16-bit (DTS Core: 2.0 / 48 kHz / 1509 kbps / 16-bit) |
Captures d’écran HD :










