
Pays | France |
Editeur | Carlotta |
Date de sortie | 17 janvier 2023 |
Support | 1 BD-50 |
Réalisateur | Hector Babenco |
Durée | 143 min 03 |
Zone | B |
Format d’image | 1.85 |
Langues | Anglais DTS HD MA 2.0, Français DTS HD MA 1.0 |
Audiodescription | Non |
Sous-titres | Français optionnels |
Image
Sans surprise, Carlotta ré-utilisent ici le seul master HD disponible pour Ironweed, soit le master HD pre-existant utilisé aux USA en 2013 par Olive puis en Angleterre en 2019 par Eureka.
Le résultat visuel est très (très) typique d’un master HD MGM pre-existant, c’est-à-dire avec une texture relativement épaisse, une douceur probablement qu’en pratique originelle, et une accentuation artificielle visible mais ici assez légère. Cela confère à l’image un rendu assez dur et pas toujours très naturel, même si on a déjà vu bien pire en la matière. Ici, l’image fait simplement un peu épaisse et datée, en particulier dans les scènes lumineuses où l’épaisseur du grain et les surcontours blancs sont les plus visibles (captures 3, 9 et 10). Les scènes plus sombres sont, elles, plutôt douces, peut-être légèrement dégrainées, pour un résultat là aussi convenable mais perfectible. Dans l’ensemble, ce sont tout de même les gros plans bien éclairés qui offrent le meilleur upgrade (capture 8).
L’étalonnage est lui aussi assez typique, avec un contraste souvent assez brutal, donnant notamment ici des scènes en basse lumière assez tranchée et aux noirs probablement un peu bouchés (captures 4 et 5). Les hautes lumières sont quant à elles souvent saturées, là aussi par excès assez habituel à la numérisation. Entre les deux, on trouvera une palette alternant extérieurs froids et intérieurs plus chauds aux teints orangés, mais toujours avec des carnations là encore typiquement saturées. On évite par contre tout dérive magenta généralisée.
Enfin, il subsiste quelques petites poussières, peu gênantes, mais surtout un tremblement léger et récurrent du cadre.
Son
La VO 2.0 (Stéréo) parait un peu plus fraiche et ouverte à l’oreille. Cela se fait parfois au détriment d’une certaine puissance, mais c’est surtout que la VF, en comparaison, est beaucoup plus sourde et force sur les graves, faisant que la VO, à côté, parait manquer de graves alors que pas vraiment. Elle semble au contraire mieux équilibrée, là où la VF semble trop fréquemment gronder. Les voix y sonnent, qui plus est, très rapeuses et voilées, alors qu’elles sont plus harmonieuses et mieux intégrées dans la VO.
Suppléments
Rien à se mettre sous la dent hormis la bande annonce originale du film (2 min 03, 1080p upscalé). Mais l’édition est à prix doux…
Matériel de test :
Image | Panasonic TX-PF50G20S |
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Source | Zone B : PS3 Slim 250 Go | Zone A : Panasonic BDT-110 |
Son | Yamaha RX-V467 |
Enceintes | Kit 5.0 : Jamo S606 | Caisson : Jamo Sub210 |
Scan disc :
Taille Disque | 42,669,900,240 bytes |
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Taille Film | 42,396,945,792 bytes |
Encodage Vidéo | MPEG-4 AVC Video / 34831 kbps / 1080p / 23.976 fps / 16:9 / High Profile 4.1 |
Encodage Audio – VO | English / DTS-HD Master Audio / 2.0 / 48 kHz / 1559 kbps / 24-bit (DTS Core: 2.0 / 48 kHz / 768 kbps / 24-bit) |
Encodage Audio – VF | French / DTS-HD Master Audio / 1.0 / 48 kHz / 1069 kbps / 24-bit (DTS Core: 1.0 / 48 kHz / 768 kbps / 24-bit) |
Captures d’écran HD :










