
Pays | France |
Editeur | Rimini |
Date de sortie | 18 janvier 2023 |
Support | 1 BD-50 |
Réalisateur | Serguei Bondartchouk |
Durée | 101 min 00 |
Zone | B |
Format d’image | 1.37 |
Langues | Russe, Français (DTS HD MA 2.0) |
Audiodescription | Non |
Sous-titres | Français optionnels |
Image
Rimini éditent deux films de Serguei Bondartchouk, dont Le destin d’un homme, dont un panneau introduction indique qu’il est présenté ici à partir d’une « Restauration numérique Mosfilm 2019 ».
A première vue, le résultat est effectivement plutôt frais et défini. L’ensemble offre un bon niveau de détails, dans les plans serrés (captures 7 et 11) comme les plans plus larges (captures 4 et 8), avec une granulation légère mais présente et une délinéation des contours paraissant naturelle et sans sur-contours artificiels. Pour autant, il s’avère que le grain apparait rapidement bidouillé, d’un côté très certainement par une atténuation numérique (souvent à la limite de créer de la postérisation), mais aussi car cette atténuation colle le grain sur place, l’empêchant de bouger naturellement jusqu’à créer des mouvements façon « champ de force ». Dommage que cette fausse note n’ait pas été évitée par Mosfilm, car c’est la seule mais elle affecte notablement le rendu visuel.
L’étalonnage ne montre, d’ailleurs, pas de soucis particuliers, offrant au contraire une palette de gris paraissant convaincante. Les noirs sont suffisamment profonds mais sans paraître bouchés, tandis que les hautes lumières ne paraissent pas malmenées. Au milieu, l’ensemble de la palette parait suffisamment nuancée et harmonieuse, dans les plans lumineux comme ceux plus sombres (notamment en intérieur).
Enfin, l’image est très propre et plutôt stable (même si quelques plans tremblotent encore légèrement du cadre). La compression ne montre pas de faiblesse particulière.
Son
La VO 2.0 (dual mono) se montre un peu plus robuste que la VF (2.0 dual mono elle aussi). La VF sonne en effet plus rugueuse et voilée au niveau des voix, avec un côté un peu souffreteux qui date l’ensemble. La musique et les effets sonores en souffrent cependant moins, même s’ils semblent moins capables de se projeter qu’en VO.
La VO, en comparaison, parait plus propre et dynamique, avec des voix plus claires et se projetant mieux, même si on pourra trouver qu’elles ressortent presque trop, comme légèrement artificielles dans leur intégration au mixage général. Cependant, le confort d’écoute est globalement un peu supérieur à celui de la VF.
Dans les deux cas, il n’y a pas de défauts particuliers qui ressortent.
Suppléments
Unique bonus : Le destin d’un réalisateur (22 min 12, 1080p), une nouvelle interview de Joël Chapron sur le film et sa place dans la carrière de Bondartchouk.
Matériel de test :
Image | Panasonic TX-PF50G20S |
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Source | Zone B : PS3 Slim 250 Go | Zone A : Panasonic BDT-110 |
Son | Yamaha RX-V467 |
Enceintes | Kit 5.0 : Jamo S606 | Caisson : Jamo Sub210 |
Scan disc :
Taille Disque | 31,810,524,104 bytes |
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Taille Film | 25,755,887,616 bytes |
Encodage Vidéo | MPEG-4 AVC Video / 28048 kbps / 1080p / 24 fps / 16:9 / High Profile 4.1 |
Encodage Audio – VO | Russian / DTS-HD Master Audio / 2.0 / 48 kHz / 1884 kbps / 24-bit (DTS Core: 2.0 / 48 kHz / 1509 kbps / 24-bit) |
Encodage Audio – VF | French / DTS-HD Master Audio / 2.0 / 48 kHz / 2089 kbps / 24-bit (DTS Core: 2.0 / 48 kHz / 1509 kbps / 24-bit) |
Captures d’écran HD :














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