
Pays | France |
Editeur | Elephant Films |
Date de sortie | 06 décembre 2022 |
Support | 1 BD-50 |
Réalisateur | Michael Powell & Emeric Pressburger |
Durée | 102 min 55 |
Zone | B |
Format d’image | 1.37 |
Langues | Anglais DTS HD MA 1.0 |
Audiodescription | Non |
Sous-titres | Français optionnels (jaunes ou blancs), Anglais |
Image
Elephant continuent leur travail sur la filmographie de Michael Powell & Emeric Pressburger avec Un de nos avions n’est pas rentré, utilisant selon toute vraisemblance le master utilisé en 2016 aux USA chez Olive puis en 2021 en Angleterre chez le BFI. Il s’agit d’un remaster 2K effectué par Paramount à partir d’un interpositif 35mm à grain fin.
Les travaux en eux-mêmes offrent plutôt un bon upgrade, même s’il ne paie pas forcément de mine a priori. En effet, vu qu’ils n’ont été effectués qu’en 2K, et à partir d’un élément intermédiaire et non du négatif, l’image peut paraître par endroits un peu épaisse et légèrement moins précise que pour des travaux plus poussés. Pour autant, à l’exception de quelques plans un peu en retrait (pour diverses raisons), les travaux techniques ont été faits en préservant les origines argentiques du film, et les détails et la précision de l’image obtenus sans abus de filtrages numériques intrusifs. Au contraire, le film conserve un rendu naturel très plaisant.
L’étalonnage est un peu plus hétérogène, plusieurs passages pouvant sembler tour à tour grisâtres (capture 4) ou un peu trop contrastés (capture 13). Cependant, le gros du film reste suffisamment équilibré pour satisfaire, malgré des noirs peut-être un peu trop collés.
Le principal souci de l’image est le niveau de défauts physiques, notamment au niveau des rayures parsemant le film du début à la fin. Cela participe à l’impression que l’image ne paie pas de mine, et nul doute qu’un nettoyage plus poussé aurait éliminé cette impression et permis de mieux mettre en lumière le niveau de détails général. On notera aussi quelques vacillements de luminosité ci et là.
Pas de soucis d’encodage à noter, même si le débit vidéo aurait pu être poussé plus loin.
Son
La VO 1.0 est très correcte quoique peu mémorable. Elle fait, simplement, efficacement le travail malgré un côté un peu plat. Elle s’avère cependant très propre, avec uniquement un léger souffle audible dans les silences, mais les voix et la musique paraissent tout de même manquer d’un peu de rondeur et de punch.
A noter la présence (surprenante) de pas moins de trois pistes de sous-titres : des sous-titres français blancs ou jaunes (au choix) et des sous-titres anglais.
Suppléments
Les bonus sont assez nettement plus légers que chez les Britanniques du BFI, qui avaient notamment quatre courts-métrages dont deux réalisés par Michael Powell, ainsi qu’un livret reproduisant le storybook du film par Emeric Pressburger.
Cependant, Elephant incluent, outre une nouvelle bande annonce française du film (1 min 28, 1080i), une analyse du film par Justin Kwedi (23 min 01, 1080i), là où les Britanniques avaient fait l’impasse sur les bonus de ce type.
Matériel de test :
Image | Panasonic TX-PF50G20S |
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Source | Zone B : PS3 Slim 250 Go | Zone A : Panasonic BDT-110 |
Son | Yamaha RX-V467 |
Enceintes | Kit 5.0 : Jamo S606 | Caisson : Jamo Sub210 |
Scan disc :
Taille Disque | 30,591,239,259 bytes |
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Taille Film | 25,080,502,272 bytes |
Encodage Vidéo | MPEG-4 AVC Video / 30000 kbps / 1080p / 23.976 fps / 16:9 / Main Profile 4.1 |
Encodage Audio – VO | French / DTS-HD Master Audio / 1.0 / 48 kHz / 814 kbps / 16-bit (DTS Core: 1.0 / 48 kHz / 768 kbps / 16-bit) |
Captures d’écran HD :















