
Pays | France |
Editeur | Pathé |
Date de sortie | 03 novembre 2022 |
Support | 1 BD-50 |
Réalisateur | Alain Chabat |
Durée | 104 min 58 |
Zone | B |
Format d’image | 1.85 |
Langues | Français (DTS HD MA 5.1 & 2.0) |
Audiodescription | Français |
Sous-titres | Français pour sourds et malentendants, Anglais |
Image
Didier n’avait pas bénéficié d’actualités vidéo depuis sa sortie DVD en 2004, mais le film ressort maintenant en Blu-ray à partir d’une restauration 4K effectuée en 2021 par Hiventy (probablement à partir du négatif original).
Le résultat est particulièrement impressionnant, avec une finesse, une précision et un naturel de tous les instants. Le gain qualitatif est instantanément visible, avec un rendu argentique préservé (le grain pellicule est très présent mais l’est harmonieusement) et une absence de tout bidouillage numérique intrusif. Bien évidemment, quelques petits trucages génèrent une très légère perte de définition (c’est le cas notamment sur quelques plans durant le match de foot final), et on pourra trouver que les passages avec Caroline Cellier ont un rendu légèrement plus vaporeux (capture 14), mais c’est autrement constamment remarquable (captures 1, 6, 7 ou 12 par exemple).
L’étalonnage est très convaincant lui aussi, à deux petites choses près. On pourra lui trouver quelques touches un peu ternes par endroits, pouvant donner aux plans concernés un rendu comme légèrement voilé (capture 13), tranchant avec le reste du film. On pourra aussi trouver quelques passages un chouia révélateurs de quel laboratoire s’est occupé de cet étalonnage (capture 15), mais cela reste très marginal. Surtout, ces deux points sont contre-balancés par tout le reste du film, qui montre une palette chatoyante et bariolée harmonieuse et dynamique, sans dérive notable et avec une couple contraste/luminosité efficace (captures 1 et 16, typiquement). Le résultat est ainsi, globalement, très agréable à suivre.
Enfin, l’image est parfaitement stable et propre, tandis que l’encodage s’avère très bien gérer l’abondante quantité de grain très fin.
Son
La piste 5.1 est globalement sympathique mais pas pleinement convaincante. Les dialogues paraissent fréquemment un peu trop en retrait, obligeant à monter le volume, ce qui place alors les effets sonores et la musique trop forts. C’est un peu dommage (même si c’est peut-être d’origine) car cela déséquilibre le mixage d’ensemble, et peut rendre l’écoute du film plus pénible qu’elle ne le devrait, alors que la piste sonore est, sinon, vierge de tout autre reproche. Evidemment, ce n’est pas non plus un monstre de démonstrativité, avec des basses peu utilisées et une activité surround très agréable bien qu’un peu ponctuelle, mais s’il n’y avait pas ces dialogues en retrait, elle laisserait une impression bien plus nettement positive.
La piste 2.0 (Stéréo) perd une partie de l’activité arrière mais corrige le déséquilibre des dialogues. Le résultat est donc un peu moins enveloppant mais parait plus simple à suivre.
Suppléments
Pas de nouveau supplément par contre, mais une reprise de la plupart des bonus du DVD 2004, à savoir :
- Commentaire audio d’Alain Chabat et Jean-Pierre Bacri
- « Making woof » du film (37 min 31, 576i)
- Le dresseur Patrick Pittavino parle de ses chiens (3 min 58, 576i)
Matériel de test :
Image | Panasonic TX-PF50G20S |
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Source | Zone B : PS3 Slim 250 Go | Zone A : Panasonic BDT-110 |
Son | Yamaha RX-V467 |
Enceintes | Kit 5.0 : Jamo S606 | Caisson : Jamo Sub210 |
Scan disc :
Taille Disque | 35,755,505,748 bytes |
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Taille Film | 32,537,610,240 bytes |
Encodage Vidéo | MPEG-4 AVC Video / 32886 kbps / 1080p / 24 fps / 16:9 / High Profile 4.1 |
Encodage Audio – VO | French / DTS-HD Master Audio / 5.1 / 48 kHz / 2256 kbps / 24-bit (DTS Core: 5.1 / 48 kHz / 1509 kbps / 24-bit) |
Encodage Audio – VO | French / DTS-HD Master Audio / 2.0 / 48 kHz / 1768 kbps / 24-bit (DTS Core: 2.0 / 48 kHz / 768 kbps / 24-bit) |
Captures d’écran HD :















