
Pays | France |
Editeur | Carlotta |
Date de sortie | 20 septembre 2022 |
Support | 1 BD-50 |
Réalisateur | Tadashi Imai |
Durée | 122 min 34 |
Zone | B |
Format d’image | 2.35 |
Langues | Japonais (DTS HD MA 3.0 & 1.0) |
Audiodescription | Non |
Sous-titres | Français optionnels |
Image
Le rare (il s’agit d’ailleurs actuellement de sa première sortie mondiale en Blu-ray) Contes cruels du Bushido arrive en Blu-ray chez nous par Carlotta, à partir d’une restauration 4k effectuée en 2020 par Toei principalement à partir du négatif original 35mm.
Le résultat est assez typique de ce qu’on peut voir assez fréquemment ces derniers temps en provenance du Japon. Dans l’ensemble, le résultat est clairement rafraichi, avec un niveau de détails très appréciable et une définition générale offrant un upgrade palpable. On pourra cependant trouver une certaine douceur à l’image, et vu l’annonce de l’usage principalement du négatif original, on peut supposer qu’elle est moins due aux éléments physiques qu’à une certaine gestion numérique du grain argentique. Cela reste suffisamment léger et homogène pour laisser à l’image une patine naturelle et argentique, mais cela pourra aussi donner l’impression, donc, d’un léger manque de piqué. Au demeurant, cela n’empêche pas la cure de jouvence technique du film.
Sur l’étalonnage, on pourra là aussi rester très légèrement perplexe face à certains aspects sans pour autant que cela ne soit rédibitoire. En effet, le film tel que présenté ici possède tout de même une certaine grisaille ambiante, avec un rendu parfois assez terne (sans être pour autant voilé) et très grisâtre (par exemple capture 7). Cela ne semble pas lié à un type de plans en particulier ou à des scènes spécifiques qui seraient tirées d’un élément physique secondaire, mais de temps à autre, cela donne l’impression d’une palette de gris assez limitée. Le reste du temps, l’étalonnage parait plus équilibré, avec des noirs suffisamment profonds et des blancs pas forcément très éclatants mais pouvant être poussés adéquatement.
Enfin, l’image a été très efficacement nettoyée et stabilisée (à quelques tremblotements de cadre ci et là), tandis que l’encodage compresse cela sans soucis visibles.
Son
Le film est proposé en DTS HD MA 3.0 (enceintes gauche, droite et centrale) et 1.0.
Aucune des deux pistes n’a de défaut particulier qui nous ferait recommander l’une plutôt que l’autre. La piste 1.0 est en effet, au fond, assez similaire à son pendant 3.0, avec un rendu un peu daté aux niveaux des voix et un peu plat, mais profitant d’une bonne propreté ainsi que d’une musique appuyant efficacement l’univers sonore du film.
La piste 3.0 reprend cela en ouvrant la musique sur les enceintes, de façon plutôt harmonieuse et sans excès, mais offrant ainsi un champ sonore un peu plus large et une légère séparation.
Suppléments
Hormis la bande annonce originale du film (3 min 08, 1080p), le seul supplément est un entretien avec l’historien du cinéma Futoshi Koga sur Tadashi Imai et Contes cruels du Bushido (12 min 04, 1080p).
Matériel de test :
Image | Panasonic TX-PF50G20S |
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Source | Zone B : PS3 Slim 250 Go | Zone A : Panasonic BDT-110 |
Son | Yamaha RX-V467 |
Enceintes | Kit 5.0 : Jamo S606 | Caisson : Jamo Sub210 |
Scan disc :
Taille Disque | 39,080,137,454 bytes |
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Taille Film | 36,153,744,384 bytes |
Encodage Vidéo | MPEG-4 AVC Video / 34841 kbps / 1080p / 23.976 fps / 16:9 / High Profile 4.1 |
Encodage Audio – VO | Japanese / DTS-HD Master Audio / 3.0 / 48 kHz / 1453 kbps / 24-bit (DTS Core: 3.0 / 48 kHz / 768 kbps / 24-bit) |
Encodage Audio – VO | Japanese / DTS-HD Master Audio / 1.0 / 48 kHz / 1027 kbps / 24-bit (DTS Core: 1.0 / 48 kHz / 768 kbps / 24-bit) |
Captures d’écran HD :













