
Pays | France |
Editeur | Metropolitan |
Date de sortie | 10 mars 2022 |
Support | 1 BD-50 |
Réalisateur | Michael Sarnoski |
Durée | 91 min 19 |
Zone | B |
Format d’image | 2.39 |
Langues | Anglais, Français (DTS HD MA 5.1) |
Audiodescription | Non |
Sous-titres | Français |
Image
Nicolas Cage est devenu une certaine légende du cinéma (pas forcément pour les bonnes raisons), mais ce Pig, qui malgré son pitch de départ n’a absolument rien d’un John Wick, arrive en Blu-ray fort d’un joli succès (mérité) d’estime.
Tourné en 2.8K (et fini en 2K) sur Arri Alexa Mini, Pig a un rendu visuel effectivement assez typique de cela, en particulier durant ses deux premiers tiers. Si cela donne au film une patine légèrement lisse malgré l’excellente définition et une légère émulation argentique donnant un peu de texture à l’image (capture 2), cela n’empêche donc pas le Blu-ray de proposer une image fine et détaillée, largement au niveau des attentes pour le support. Que ce soit les plans larges en extérieur (captures 1, 3 ou 11) ou les plans plus serrés sur les interprètes (captures 2 et 5), le résultat offre un rendu HD indéniable et très confortable que rien ne vient entacher.
L’étalonnage sera par contre moins impressionnant aux yeux de certains tant il verse dans une palette assez peu chatoyante mais au contraire plutôt terne et désaturée. C’est particulier le cas durant le premier chapitre du film (captures 1, 2 et 3), qui est plus peu lumineux, mais lorsque le film s’illumine, on trouve alors un ensemble un peu plus contrasté et équilibré (capture 5), même si cela reste restreint côté couleurs. Seuls quelques intérieurs typés (captures 4 et 10) sortent un peu du lot en la matière, mais quoiqu’il en soit, tout cela est d’origine et le disque en lui-même retranscrit cela sans souci spécifique.
Enfin, pas de souci physique ou d’encodage à noter.
Son
Pig reste un film plutôt intimiste, et les deux pistes 5.1 (équivalentes, à ceci près que la VF est légèrement plus forte que la VO) offrent un rendu acoustique allant dans ce sens. Faisant surtout la part belle aux bruits d’ambiance (qu’ils soient issus de la nature ou de la ville), le film déploie surtout un univers multicanal via ces bruitages ainsi que par quelques passages musicaux. Les dialogues sont bien intégrés à cela, sans problème particulier malgré le côté plutôt taiseux du film et des dialogues qui montent rarement le ton. Quelques exceptions montrent cependant que les pistes savent proposer du coffre et de la dynamique quand il le faut.
Suppléments
On apprécie la présence d’un peu de bonus directs, contrairement à l’édition US. Si on retrouve en effet les deux mêmes modules de Nicolas Cage aux fourneaux (20 min 05 + 18 min 18, 1080p), où celui-ci apprend la recette de la tarte aux champignons et du pigeon aux pommes Anna, on retrouve aussi trois scènes coupées (7 min 01, 1080p) mais Metropolitan ajoutent surtout un entretien exclusif avec le réalisateur (17 min 16, 1080p).
Enfin, on trouve 8 bandes annonces de l’éditeur pour des films « Starring Nicolas Cage ». Le disque s’ouvre par ailleurs sur la bande annonce française d’Un talent en or massif.
Matériel de test :
Image | Panasonic TX-PF50G20S |
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Source | Zone B : PS3 Slim 250 Go | Zone A : Panasonic BDT-110 |
Son | Yamaha RX-V467 |
Enceintes | Kit 5.0 : Jamo S606 | Caisson : Jamo Sub210 |
Scan disc :
Taille Disque | 49,236,446,472 bytes |
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Taille Film | 28,619,206,656 bytes |
Encodage Vidéo | MPEG-4 AVC Video / 32980 kbps / 1080p / 24 fps / 16:9 / High Profile 4.1 |
Encodage Audio – VO | English / DTS-HD Master Audio / 5.1 / 48 kHz / 3177 kbps / 24-bit (DTS Core: 5.1 / 48 kHz / 1509 kbps / 24-bit) |
Encodage Audio – VF | French / DTS-HD Master Audio / 5.1 / 48 kHz / 3345 kbps / 24-bit (DTS Core: 5.1 / 48 kHz / 1509 kbps / 24-bit) |
Captures d’écran HD :










