
Pays | Angleterre |
Editeur | Anti-Worlds |
Date de sortie | 10 janvier 2022 |
Support | 1 BD-50 |
Réalisateur | Tim Mielants |
Durée | 96 min 01 |
Zone | B |
Format d’image | 2.38 |
Langues | Flamand DTS HD MA 5.1 |
Audiodescription | Non |
Sous-titres | Anglais optionnels |
Image
Patrick se paie une très jolie édition Blu-ray britannique via Anti-Worlds, offrant des conditions de découverte (ou de re-visionnage pour les chanceux) largement à hauteur des capacités du support.
Le film profite en effet d’une photographie à l’aspect numérique (le film a été tourné sur Arri Alexa) finalement peu marqué et à la texture au contraire plus prononcée qu’à l’accoutumée. Cela accentue l’impression de netteté et de piqué de l’image, avec un rendu HD facilement perceptible et ce tout le long du film. Les plans larges en extérieur offrent tout autant de très jolies choses (capture 1) que les gros plans sur les interprètes permettant de voir les petits détails faciaux ou sur les vêtements (quand il y en a) (captures 2, 6 et 7). Pas de mauvaise surprise ici, au contraire.
Même constat pour l’étalonnage, qui ne semble pas souffrir d’erreur particulière dans sa retranscription en Blu-ray. Le résultat est une photo alternant parfois un côté légèrement désaturé (capture 9) avec une saturation plus traditionnelle (capture 10) et enfin des couleurs volontairement biaisée (dans l’orange par exemple, captures 12 et 14). Tout cela est fait sans bavure ou autre défaut particulier, et est appuyé par un contraste efficace, ne bouchant pas les noirs et évitant aussi tout aspect voilé.
Aucun souci physique (logique) et pas de soucis de compression non plus.
Son
La piste 5.1, mélangeant Flamand, Français et Anglais, semble aux premiers abords assez timide mais elle révèle progressivement son jeu, tant dans sa dynamique que l’ouverture sonore via les enceintes arrières. Le film propose ainsi progressivement une ambiance enveloppante très enveloppante, que ce soit avec sa bande originale, quelques effets de déplacement des voix d’une enceinte à l’autre, ainsi qu’une poignée de passages offrant un petit pic d’activité bienvenu.
A noter que les quelques passages en Anglais (principalement avec Jemaine Clement) ne sont pas sous-titrés. Par ailleurs, les sous-titres ont quelques petites difficultés avec les accents présents dans les prénoms (Josée devient Joséeee, Gérôme devient Gêerôome), mais rien de dramatique (on parle de 4-5 fois sur l’ensemble du film).
Suppléments
- Commentaire audio de Tim Mielants et du co-scénariste Benjamin Sprengers (anglais non sous-titré)
- Making of (15 min 56, 1080p, sous-titré en anglais)
- Nouvelle interview de Tim Mielants (10 min 08, 1080p, anglais non sous-titré)
- Nouvelle interview du producteur Bart van Langendonck (8 min 48, anglais non sous-titré)
- 3 bandes annonces britanniques du film : celle proposée originellement (2 min 02, 1080p, sous-titres anglais incrustés), une bande annonce alternative ayant tenté (mais loupé) l’obtention d’une classification plus faible (1 min 41, 1080p, sous-titres anglais incrustés) et la bande annonce finale ayant réussi (1 min 37, 1080p, sous-titres anglais incrustés)
- Version intégrale de la musique composée pour la séquence des funérailles (1 min 39, 1080p)
- Livret de 22 pages un nouveau texte de 3 pages sur le film par Wendy Ide et un nouveau texte de 5 pages par David Flint sur l’évolution de la représentation du nudisme au cinéma
Matériel de test :
Image | Panasonic TX-PF50G20S |
---|---|
Source | Zone B : PS3 Slim 250 Go | Zone A : Panasonic BDT-110 |
Son | Yamaha RX-V467 |
Enceintes | Kit 5.0 : Jamo S606 | Caisson : Jamo Sub210 |
Scan disc :
Taille Disque | 34,124,708,292 bytes |
---|---|
Taille Film | 28,041,705,024 bytes |
Encodage Vidéo | MPEG-4 AVC Video / 33793 kbps / 1080p / 24 fps / 16:9 / High Profile 4.1 |
Encodage Audio – VO | Dutch / DTS-HD Master Audio / 5.1 / 48 kHz / 3061 kbps / 24-bit (DTS Core: 5.1 / 48 kHz / 768 kbps / 24-bit) |
Captures d’écran HD :

















Ok, donc pour « Patrick », les british ont carrément détourné la pochette de la BOF des Kinks pour le film « Percy » (1971) de Ralph Thomas… C’est assez drôle je dois dire.
J’aimeJ’aime
Oui, ça a fait partie de la sortie britannique, dès la sortie du film, et ce visuel a été repris pour la sortie vidéo.
J’aimeAimé par 1 personne