
Pays | France |
Editeur | Wild Side |
Date de sortie | 17 novembre 2021 |
Support | 1 BD-50 |
Réalisateur | Edward Dmytryk |
Durée | 114 min 02 |
Zone | B |
Format d’image | 1.85 |
Langues | Anglais & Français DTS HD MA 2.0 |
Audiodescription | Non |
Sous-titres | Français imposés |
Image
Dans la foulée des Britanniques d’Arrow et des Américains de Sony en septembre, La rue chaude (Walk on the Wild Side) arrive en Blu-ray chez nous via Wild Side (logique) à partir de la même restauration 4K très récemment finalisée par Sony.
Le résultat visuel est particulièrement plaisant et naturel, avec un grain argentique plutôt bien restitué (quoique paraissant par moments légèrement moins présent qu’attendu) et une absence de filtrage numérique destructif. L’ensemble parait ainsi particulièrement détaillé et convaincant, avec un rendu pellicule très agréable et un excellent niveau de détails (captures 4, 10 et 12 par exemple). Seuls les fondus enchaînés et autres trucages optiques sont typiquement en retrait, ainsi que quelques gros plans sur les actrices qui sont originellement plus diffus (captures 6 et 9). Bref, globalement du tout bon et sans fausse note.
L’étalonnage convainc lui aussi, avec un contraste et une luminosité bien gérés, tant dans les plans les plus éclairés (capture 4 par exemple) que ceux plus sombres (captures 1 et 13). Les noirs restent profonds sans paraître bouchés (captures 11 et 13) mais sans pour autant avoir besoin d’être notablement décollés. A l’opposé, les hautes lumières semblent bien traitées et sans excès, pour un résultat frais et équilibré.
Enfin, l’image a été très efficacement nettoyée et stabilisée, et l’encodage ne montre pas de faiblesse particulière.
Son
Dès les premiers instants, la VO sonne très plaisante à l’oreille. Elle s’avère ample et dynamique, bénéficiant notamment à la bande originale signée Elmer Bernstein. Si le film n’est pas le plus démonstratif du monde, on sent un bel équilibre sonore et surtout une clarté et une propreté très confortables, avec des dialogues toujours clairs et intelligibles.
C’est d’ailleurs le jour et la nuit avec la VF, qui à côté de la VO parait tirée d’un vieil enregistrement radio effectué à travers d’un oreiller. Elle parait effectuée très sourde, avec des dialogues étouffés au point de devoir monter le volume pour tout comprendre, une musique anémique et un souffle constant en arrière-plan. Les VO-phobes seront sans doute ravis de l’effort, mais c’est sans doute l’occasion de passer à la VO.
Suppléments
2 suppléments (seulement, pourront dire certains vu le prix public conseillé de l’édition), faisant notamment le tour de la production du film :
- sur le disque : Impasse à Perdido Street (33 min 43, 1080i) : un entretien avec François Guérif sur le film et notamment sa production assez tumultueuse
- dans le digibook : un livret de 50 pages contenant un texte par Philippe Garnier d’environ 17 pages, revenant lui aussi sur la production mouvementée du film, à partir notamment de la reproduction de notes, mémos et autres documents issus de la production du film
Matériel de test :
Image | Panasonic TX-PF50G20S |
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Source | Zone B : PS3 Slim 250 Go | Zone A : Panasonic BDT-110 |
Son | Yamaha RX-V467 |
Enceintes | Kit 5.0 : Jamo S606 | Caisson : Jamo Sub210 |
Scan disc :
Taille Disque | 39,079,748,234 bytes |
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Taille Film | 30,665,441,280 bytes |
Encodage Vidéo | MPEG-4 AVC Video / 29990 kbps / 1080p / 23.976 fps / 16:9 / High Profile 4.1 |
Encodage Audio – VO | English / DTS-HD Master Audio / 2.0 / 48 kHz / 1828 kbps / 24-bit (DTS Core: 2.0 / 48 kHz / 1509 kbps / 24-bit) |
Encodage Audio – VF | French / DTS-HD Master Audio / 2.0 / 48 kHz / 1949 kbps / 24-bit (DTS Core: 2.0 / 48 kHz / 1509 kbps / 24-bit) |
Captures d’écran HD :














