
Pays | France |
Editeur | Sidonis |
Date de sortie | 24 août 2021 |
Support | 1 BD-50 |
Réalisateur | Jean-François Adam |
Durée | 98 min 32 |
Zone | B |
Format d’image | 1.66 |
Langues | Français DTS HD MA 2.0 |
Audiodescription | Non |
Sous-titres | Aucuns |
Image
Comme L’amour trop fort, Retour à la bien-aimée est édité par Sidonis à partir d’une récente restauration effectuée par Hiventy, sans doute en 4K à partir du négatif original.
Et comme pour L’amour trop fort (peut-être même un peu plus encore), le résultat visuel est particulièrement convaincant. L’ensemble parait en effet efficacement rafraichi, avec une patine argentique conservée (avec ce grain argentique fin typique de ce flux de restauration) et une absence de filtrage numérique superflu qui serait visible. Cela permet d’asseoir une belle définition et un rendu HD instantanément perceptible, offrant une précision et un niveau de détails de tous les instants. Les gros plans sur les interprètes comme les plans plus larges permettent d’en profiter pleinement, le naturel de l’image accentuant le rajeunissement et le soin visuel de la restauration. De rares plans paraissent légèrement plus doux, mais rien de dommageable.
L’étalonnage est lui aussi plutôt convaincant. Hormis quelques passages paraissant légèrement voilés (capture 11), l’ensemble du film possède un couple contraste / luminosité plaisamment ajusté. Les zones sombres possèdent ainsi une belle profondeur mais pas excessive, tandis que les hautes lumières conservent leurs détails. La palette colorimétrique parait à la fois dynamique et équilibrée, sans dérive étrange à noter, sans pour autant sacrifier à une balance des blancs trop pure façon remaster vidéo des 90s (capture 3).
Enfin, à l’exception d’une minuscule poignée de poussières ou petites tâches (capture 12), l’image a été profondément nettoyée. Elle a aussi été efficacement stabilisée.
Son
La piste son est plutôt agréable à l’oreille, avec un rendu sonore suffisamment ouvert et ample. Le film n’est, bien sûr, pas particulièrement démonstratif mais l’ensemble ne sonne jamais trop sourd ou étouffé. De même et en particulier, les voix sont claires et intelligibles. La musique, étonamment, est peut-être l’élément sonore qui parait le plus contenu mais cela reste intégré de façon harmonieuse et organique au mixage global.
Suppléments
- Mélancolie du lien amoureux (26 min 27, 1080i) : nouvel entretien sur le film avec Benoît Jacquot
- Un conte somnambulique (27 min 38, 1080i) : nouvel entretien sur le film avec Bernard Payen
Matériel de test :
Image | Panasonic TX-PF50G20S |
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Source | Zone B : PS3 Slim 250 Go | Zone A : Panasonic BDT-110 |
Son | Yamaha RX-V467 |
Enceintes | Kit 5.0 : Jamo S606 | Caisson : Jamo Sub210 |
Scan disc :
Taille Disque | 38,161,556,036 bytes |
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Taille Film | 24,819,560,448 bytes |
Encodage Vidéo | MPEG-4 AVC Video / 29899 kbps / 1080p / 24 fps / 16:9 / High Profile 4.1 |
Encodage Audio – VO | French / DTS-HD Master Audio / 2.0 / 48 kHz / 1989 kbps / 24-bit (DTS Core: 2.0 / 48 kHz / 1509 kbps / 24-bit) |
Captures d’écran HD :













