
Pays | France |
Editeur | Le chat qui fume |
Date de sortie | 10 juillet 2021 |
Support | 1 BD-25 |
Réalisateur | Patrick Cabouat |
Durée | 89 minutes |
Zone | B |
Format d’image | 1.33 |
Langues | Français DTS HD MA 2.0 |
Audiodescription | Non |
Sous-titres | Aucun |
Image
Contrairement à la plupart des autres titres de cette vague Le chat qui fume de juillet 2021, Les loulous s’offre une belle redécouverte en Blu-ray mais pas à partir d’une restauration 4K. En effet, si la page produit de cette sortie sur le site de l’éditeur mentionne toujours cela, ce n’est pas le cas à l’arrière de la jaquette, et en tout cas pas vraiment à l’écran. Après vérification auprès de l’éditeur, il s’agit d’un scan 2K effectué sur Blackmagic (probablement suivi d’une restauration 2K), ce qui est plus cohérent avec le rendu à l’écran (même pour un film en 16mm).
On trouve en effet un rendu globalement plus épais, logique à la fois pour un film tourné en 16mm et pour un travail en 2K. La patine du film est donc plus brute, la finesse plus limitée, en particulier dans les plans les plus larges (captures 1, 4 et 8). Les plus plus serrés sont plus convaincants, même avec ces limites d’origine, offrant malgré tout un niveau de détails fins suffisamment convaincant (captures 2 et 5). Cela étant, un grand nombre de plans restent assez mous sur cet aspect, avec un grain épais d’une manière qui parait liée au flux de travail de restauration (captures 12, 13 et 14) et même complètement figé lors d’une scène à la 81ème minute (capture 18), donnant un aspect très vidéo à ce passage. Heureusement cependant, l’aspect HD de l’image se voit la grande majorité du temps, mais on suppose que si une partie de l’aspect visuel du Blu-ray provient des éléments originels, une autre provient de la restauration elle-même, plus limitée que d’autres travaux effectués par Le chat qui fume.
Côté étalonnage, l’ensemble est plus convaincant malgré parfois un aspect légèrement passé (captures 4 et 11) ou comme voilé (capture 14). Le gros du film est cependant plutôt équilibré, tant du côté de la palette de couleurs, de la saturation que du couple contraste / luminosité, y compris dans les scènes les moins éclairées. Les noirs sont peut-être parfois un peu denses mais le tout parait rester suffisamment ajusté pour ne pas sembler excessivement sombre ou contrasté.
Enfin, si le nettoyage a été plutôt efficace, le cadre reste encore régulièrement tremblotant. L’encodage est plutôt solide malgré le grain souvent très intense.
Son
La piste son s’avère parfois assez sourde et renfrognée, un aspect accentué par l’absence de sous-titres qui permettraient de compenser. Cela donne ainsi un rendu sonore assez plat et des dialogues manquant parfois de punch, même si la piste sait parfois montrer un peu de dynamique dans les moments les plus chargés. Il n’empêche qu’il faudra a minima monter un peu le son. Pour le reste, c’est globalement suffisamment propre et équilibré.
Suppléments
- Présentation du film par Jessica Jhean (3 min 35, 1080i)
- Nouvelle interview de Patrick Cabouat (40 min 43, 1080p)
A noter que contrairement à ce que mentionne la jaquette, il n’y a pas de scène coupée en bonus.
Matériel de test :
Image | Panasonic TX-PF50G20S |
---|---|
Source | Zone B : PS3 Slim 250 Go | Zone A : Panasonic BDT-110 |
Son | Yamaha RX-V467 |
Enceintes | Kit 5.0 : Jamo S606 | Caisson : Jamo Sub210 |
Scan disc :
Taille Disque | 23,531,530,312 bytes |
---|---|
Taille Film | 19,547,725,824 bytes |
Encodage Vidéo | MPEG-4 AVC Video / 25996 kbps / 1080p / 24 fps / 16:9 / High Profile 4.1 |
Encodage Audio – VO | French / DTS-HD Master Audio / 2.0 / 48 kHz / 1660 kbps / 16-bit (DTS Core: 2.0 / 48 kHz / 1509 kbps / 16-bit) |
Captures d’écran HD :

















